Critique of Bobier, Christopher (2021) What Would the Virtuous Person Eat? The Case for Virtuous Omnivorism. Journal of Agricultural and Environmental Ethics

Critique of What Would the Virtuous Person Eat? The Case for Virtuous Omnivorism

1. Insects and oysters have a nervous system. They are sentient beings and they feel pain.

2. It is not necessary for human health to consume sentient beings — not mammals, birds, reptiles, or invertebrates.

3. It is plants (and microbes) that do not have a nervous system and hence do not feel.

4. What is wrong is to make sentient beings suffer or die other than out of conflict of vital (life-or-death) interest.

5. Morality concerns, among other things, not harming other sentient beings.

The rest of the proposal of Christopher Bobier is unfortunately mere casuistry.

To help the victims of plant agriculture  for human consumption, perhaps strive instead to develop an agriculture that is more ecological and more merciful to the sentient beings who are entangled in mass consumption by the human population.

Instead of fallacies like the call to consume some sentient victims so as to give further sentient victims the opportunity to become victims, it might be more virtuous to consider reducing the rate of growth in the number of human consumers.

De la casuistique d’un «éthicien» concernant la « vertu»

1. Les insectes et les huitres ont un système nerveux. Ils sont des êtres sentients et ils ressentent la douleur.

2. Il n’est pas nécesaire à la santé humaine de consommer les êtres sentients — ni mammifère, ni oiseau, ni réptile, ni invertébré.

3. C’est les plantes (et les microbes) qui n’ont pas de système nerveux et donc ne ressentent pas.

4. Ce qui est mal, c’est de faire souffrir ou mourrir les êtres sentients sans nécessité vitale (conflit d’intérêt de vie ou de mort).

5. La moralité concerne, entre autres, ne pas faire mal aux autres êtres sentients.

Le reste du propos de ce « scientifique » n’est que du casuistique. 

Pour aider aux victimes de l’agriculture des plantes aux fins de la consommation humaine, lutter peut-être plutôt pour développer une agriculture plus écologique et plus miséricordieuse envers les êtres sentients qui sont empétrés dans la consommation de masse par la population humaine. 

Au lieu de sophismes comme l’appel à consommer des de victimes sentientes pour donner l’occasion à davantage de victimes sentientes à devenir victimes, il serait peut-être plus vertueux de songer à réduire le taux de croissance du nombre de consommateurs humains…

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