It’s often said that it is not religious principles that are at fault but their practice (or rather their non-practice).
On dit souvent que ce n’est pas les principes religieux qui sont fautifs mais leurs pratiques (ou plutôt leurs non-pratiques).
Although that already makes me somewhat uneasy, calling to mind the slogan of the US National Rifle Association (“Guns Don’t Kill, People Do”), I’d say that with the religious principles on the treatment of animals — unlike the principles on the treatment of humans — it is the utilitarianism and permissiveness of Judeo-Christianity that I find horrifying.
Bien que ça m’inquiète déjà un peu, faisant penser aux dictons de la National Rifle Association américaine (“Guns don’t kill, people do”), je dirais qu’avec les principes religieux pour le traitement des animaux — contrairement aux principes pour le traitement des humains — l’utilitarisme et la permissivité du judéo-christianisme m’horrifient.
My non-belief is empirical, based on the observable, objective facts. But I have to say that even if there were empirical evidence for the truth of the Judeo-Christian scriptures, I would never, ever become a practitioner. Instead of being an atheist I would then be an anti-theist, not just because of the treatment of animals approved by an omnipotent deity but also because of the treatment of humans — not approved, but not prevented either — in the name of a divine game, capricious and psychopathic, called “free will,” which would not only be immoral, but the apotheosis of immorality (rather like breeding pit bulls so as to watch them fight it out).
Mon incroyance est empirique: Elle est basée sur l’ensemble des faits observables et objectifs. Mais j’avoue que même s’il y avait des preuves empiriques de la vérité des écrits saints judéo-chrétiens, je ne serais jamais, jamais adhérent. Au lieu d’être athée je serais alors anti-thée, non seulement à cause du traitement des animaux approuvé par une déité omnipotente, mais à cause du traitement des humains aussi — non-approuvé, mais non-prévenue non plus — au nom d’un jeu divin, capricieux et psychopathe, intitulé le « libre arbitre », qui serait non seulement immoral mais l’apothéose de l’immoralité (comme élever les pitbull pour s’amuser à les voir combattre).
(On the other hand, I would immediately become a faithful follower of any creed that really did put an end to the horrors.)
(Par contre, je serais adhérent fidèle de n’importe quel culte qui mettait fin aux horreurs pour de vrai.)