Industrial farming is one of the worst crimes in history — Yuval Noah Harari
Not “one of the worst crimes”: the worst, by orders of magnitude. It’s true that there is no horror we inflict on animals that we don’t also inflict on humans. But if inflicted on humans it is illegal, pursued, and punished, and most people condemn and would never dream of committing or condoning it. Yet when it is inflicted on animals, most people are willing and active accomplices. I choose to believe that it’s not because most people are psychopaths but because they don’t know the two essential facts — about (I) the agony of the animals and that (II) the consumption of animals is not necessary for human survival and health. The victims’ only hope now is that in our online era of pervasive citizen media, ag-gag laws will be defeated, the truth about the horrors will be transmitted everywhere, and the decent majority will at last outlaw and abolish humanity’s worst crime
Je dirais que c’est le pire des crimes humains, pas seulement pour le nombre et l’agonie inimaginables de ses victimes, mais parce que ce n’est même pas considéré un crime.
Il n’existe pas une horreur qu’on inflige aux animaux qu’on n’inflige pas aux humains aussi. Pas une. Mais envers les humains, c’est illégal et la vaste majorité de l’humanité condamne ça et ne le ferait jamais — tandis qu’envers les animaux la vaste majorité de l’humanité est complice de ce crime indicible.
Je choisis de croire que c’est grâce à l’ignorance, et non pas à la psychopathie que la vaste majorité devient complice de ce pire des crimes: l’ignorance de la non-nécessité de la consommation des animaux et de l’échelle monstrueuse de leurs souffrances.
Il faut que ça soit vrai que la sensibilisation — à l’aide du pouvoir des outils numériques et réseautés à enregistrer et diffuser les preuves des horreurs — donneront à ce crime son propre nom, et le rendra enfin illégal, poursuivable et impensable.
C’est le seul espoir pour les victimes.