“Speciesism”

The analogy between racism/sexism and “speciesism” is alas incoherent.
Racism is (negative) discrimination between human beings on the basis of race. Sexism is (negative) discrimination between human beings on the basis of gender. It is transparent that both of these are unjust, unnecessary and unjustifiable.

But we eat plants, who are also species. We have no choice. Otherwise humans could not survive (currently). It is a case of conflict of vital (life/death) interests. To be non-discriminatory between species would require either remaining omnivores toward all species or not consuming any species.

(We also fight harmful microbes; that too is a conflict of vital interest.)

A foundation for veganism that is logical, coherent and realistic requires a more careful qualification:

It is wrong to kill or harm a sentient being in the absence of conflict of vital interest (survival, health, harm — certainly not for pleasure or profit)”

This principle is species-neutral, but it preserves the right of every individual, human or nonhuman, to try to survive, free of harm.

L’analogie entre le racisme/sexisme et le « spécisme » est hélas incohérente. Le racisme est la discrimination (négative) entre les humains basée sur leur race. Le sexisme est la discrimination (négative) entre les humains basée sur leur genre. C’est transparent que ces deux sortes de discrimination négatives sont injustes, non-nécessaires et injustifiables.

Mais on mange les plantes, qui sont également des espèces. On n’a pas de choix. Sans ça les humains ne peuvent pas survivre (actuellement). C’est un conflit des intérêts vitaux (de survie ou de mort). Ne pas discriminer (négativement) entre les espèces nécessiterait soit de demeurer omnivore envers toute espèce ou de ne consommer aucune espèce.

(On lutte aussi contre les microbes nocifs; ça aussi c’est un conflit d’intérêt vital.)

Un fondement logique, cohérent et réaliste pour le véganisme nécessite une qualification plus soigneuse:

Il est mal de tuer ou de faire mal à un être sensible dans l’absence d’un conflit d’intérêt vital (survie, santé, souffrance — certes pas pour le plaisir ou le profit)”.

Ce principe est neutre vis-à-vis les espèces mais il protège le droit de tout individu, humain ou non-humain, à tenter de survivre, hors de mal.

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